
Fugue maternelle – Elles ont osé partir (et elles ne le regrettent pas)
Et si la vraie révolution, c’était de partir seule ?
Quitter la maison. Sans enfant. Sans conjoint. Juste pour quelques jours. L’idée fait peur à certaines, fait rêver d’autres. Pourtant, de plus en plus de femmes sautent le pas.
Elles s’organisent, préviennent, délèguent. Et elles partent. Sans culpabilité (ou presque). Voici ce qu’elles en disent.
Sonia – “Une aventure humaine attendue chaque année avec impatience”
« Une escapade féminine riche en rencontres amicales, partages, découvertes, émotions, rires... Une belle aventure humaine attendue chaque année avec grande impatience. Merci infiniment à vous deux, Margaux et Marie, d’avoir fait de moi une mumbreakeuse ! »
Mélanie – “Bien plus qu’une parenthèse”
« Ce voyage entre copines, entre mamans, a été bien plus qu’une simple parenthèse. C’était un moment suspendu, un souffle dont j’avais profondément besoin. J’y ai trouvé une énergie nouvelle, une forme de réparation douce et profonde. Être entourée de femmes qui vivent les mêmes réalités, entre rires, confidences et silences partagés, m’a inspirée et recentrée.
Ce séjour m’a permis de prendre conscience de tant de choses : l’importance de me reconnecter à moi-même, de me donner le droit de souffler, et de cultiver ces liens précieux entre amies. Ces moments-là sont uniques, puissants. Hâte de vivre le prochain Mum Break. »
Camille – “Un espace suspendu, rien qu’à nous”
« Un espace-temps tellement attendu chaque année : de la détente, des découvertes, des rires, du bonheur, du partage entre mamans, entre filles. Des moments pour soi, où tu peux être toi-même. Un espace suspendu partagé avec des personnes géniallissimes. Je ne changerais cette équipe de Mumbreakeuses pour rien au monde. »
La preuve par celles qui l’ont vécu
Ces témoignages, ce sont des morceaux de vrai. Des récits de femmes qui ont osé sortir du cadre, s’accorder une pause, s’ouvrir à la sororité. Et elles en sont revenues transformées.
Le Mum Break, ce n’est pas un luxe. Ce n’est pas une folie. C’est une nécessité douce, joyeuse, vitale.
Et vous ? Vous partez quand ?